Le mois de juin est consacré à la petite enfance à travers le monde. Cette année, ce mois intervient dans un contexte inédit, marqué par la propagation du coronavirus où les efforts sont tournés vers la promotion des gestes barrières, la protection des personnes à risque ou victimes d’inégalités. Dans la journée de ce lundi, 1er juin 2020, un reporter de Guineematin.com a donné la parole à des écolières d’Ansoumanya, dans la préfecture de Dubréka. Aujourd’hui, elles ne vont plus en classe suite à la fermeture des écoles, mais réduites à la vente de sachets d’eau pour aider leurs familles à supporter le fardeau de la vie quotidienne. Les enfants guinéens ne sont pas en marge des impacts négatifs du coronavirus sur la vie socioéconomique. Des écolières d’Ansoumanya Plateau, dans la préfecture de Dubréka, ne cachent pas les difficultés qu’elles rencontrent actuellement. Delphine Haba, évoluant dans une école privée de place, est vendeuse de sachets d’eau minérale. Elle explique ce qu’elle endure depuis qu’elle ne va plus à l’école. «...
Cet article Mois de l’Enfant : le calvaire des écolières, vendeuses d’eau minérale à Ansoumanya (Dubréka) est apparu en premier sur Guinée Matin - Les Nouvelles de la Guinée profonde.